Risque de poursuites judiciaires
La Loi 14 a durci les règles : tout manquement aux obligations linguistiques (documents mal rédigés, français absent ou approximatif) peut directement entraîner des procédures juridiques ou une intervention de l’Office québécois de la langue française.
Quand une virgule coûte des millions
L’affaire rapportée par le New York Times l’illustre bien : une dispute commerciale de plusieurs millions a été causée par une simple virgule mal placée. En traduction, une ambiguïté ou un mot inexact peut produire le même effet dévastateur.
L’arme des imprécisions juridiques
Une clause juridique traduite trop rapidement ou une version française qui diffère de l’original peut créer une faille exploitable par les parties concernées. En cas de litige, les tribunaux tranchent souvent en faveur de la partie lésée par l’erreur.
Prépondérance du français : aucune marge d’erreur
Depuis l’adoption de la Loi 14, c’est la version française qui fait foi lorsqu’elle est requise. Si elle comporte des erreurs, ces dernières deviennent la référence juridique… au détriment de l’entreprise.
Des litiges qui coûtent cher, longtemps
Un mot de travers peut mener à des arbitrages, à des frais d’avocats et à des amendes. Investir dans une traduction professionnelle relève du simple bon sens comparativement à ces dépenses.
Sanctions administratives progressives
L’OQLF peut imposer des amendes, exiger des corrections et forcer la mise en conformité. Ces mesures suivent souvent des plaintes officielles, ce qui expose encore plus l’entreprise à la mauvaise presse.
Réputation et crédibilité en jeu
Une traduction bâclée devient une arme contre l’entreprise, en prouvant la négligence de cette dernière. Elle peut ruiner la confiance des partenaires et du public. À l’inverse, une traduction rigoureuse démontre un respect clair de la loi et du client.